On m’ appelle Manika,

Où le pied ne va pas, le regard peut atteindre ; où le regard s’arrête, l’esprit peut continuer.
— Victor Hugo

Je suis issue d’un parcours cent pour cent artistique, j'ai donc toujours été dotée d’une grande sensibilité. Sensibilité que j’ai laissée s’exprimer à travers mon travail. J’ai maîtrisé dès le plus jeune âge l’art abstrait, rêveuse et dans mon monde, l’imagination était mon plus fidèle compagnon. Je ne me suis révélée que quelques années plus tard dans mes études de communication graphique.

En quelques années, la communication visuelle culturelle est devenue pour moi une passion. L’univers visuel tout entier me chuchotait des idées à longueur de journée. De nature observatrice, j’ai su lire à travers les gens, c’est très rapidement que j’ai su comprendre les besoins de chacun et y répondre en images. De manière évidente, le monde de la publicité s’est ouvert à moi. Après onze années de Direction Artistique en agence de publicité, c'est dans la photographie que j'ai trouvé mon alter ego créatif.  Plus sincère, plus authentique et surtout plus généreuse, la photo offre un souffle nouveau à mon âme d’artiste. En effet, je cultive le souci du détail, j’aime capter la lumière et redéfinir les ombres. J’aime capturer les regards, la gestuelle et mettre en symbiose tout ce qui gravite dans l’instant. Je m'évertue à conserver mon âme d’enfant, mon âme de jeune femme et mon âme d’artiste pour servir au mieux la création de souvenirs si précieux à mes yeux.

Mon objectif, arrêter le temps avec bienveillance, dans votre univers, afin d'en sauvegarder toute la singularité. Arrêter le grain de sable lorsqu’il tombe du sablier. Vous permettre de créer un héritage visuel vrai à partager.

Vous offrir ma sensibilité et ma vision du monde qui vous entoure est pour moi plus qu’une vocation, c’est une aventure à vivre ensemble. Et si nous nous laissions surprendre par le réel sens du mot sublime ? Un rayon de lumière, un reflet discret, une brise invisible, une poussière qui flotte ou un doux grain… cela tombe bien car j'en ai un dans la tête...un petit grain, celui d’une folie douce.